Skip to main content

Étiquette : Internet

« De la frontière au camp d’Argelès » Le succès à Argelès

Foule et succès ce vendredi 21 février au Mémorial du camp d’Argelès. Le public est venu nombreux pour accueillir cette exposition de photos inédites.

Ces 24 clichés sont essentiellement axés sur l’exil et l’occupation des tristes camps sur la plage que furent Argelès, Saint Cyprien et bien d’autres.

L’humanité se retrouve dans ces photos, avec émotion et force. Tous les sentiments humains de fraternité transpirent comme des déclics, au-delà de ces images.

24 photos pour décliner ce fut la retirada, elles font partie d’une collection plus importante, qui nous fait parcourir les chemins escarpés des Pyrénées ou entrer dans une classe d’élèves studieux et appliqués .

L’intervention de l’ami Helios fut très remarquée! (voir document)

Expo: De la frontière au camp d’Argelès; Un itinéraire humanitaire
Du 18 février au 16 mai. Mémorial du camp d’Argelès.

¡MORIR EN MADRID… UNA SEGUNDA VEZ !

En voici le texte français:

PETITION : MOURIR À MADRID …UNE SECONDE FOIS !

L’Association 24 Aout 1944 à Jose Luis Martinez Almeida, maire de Madrid.

Notre association s’émeut et proteste contre le fait que l’équipe municipale dirigée actuellement par Jose Luis Martinez Almeida ait pu voter et procéder au démantèlement du monument élevé dans le cimetière de l’est, en hommage aux 2937 victimes de la répression franquiste, fusillés à Madrid, dans les années 1939 à 1944.
Notre association, constituée à Paris en 2013, a pour but de faire connaître la mémoire des Espagnol(e)s antifranquistes qui se réfugièrent en France en 1939 ; et en particulier la mémoire de ceux, et ils furent nombreux, qui s’engagèrent dans la résistance contre le fascisme soit en s’incorporant dans les rangs de la résistance en France soit dans les Forces Françaises Libres qui combattaient aux côtés des armées alliées contre Hitler et Mussolini.
Ainsi la « Nueve », de la 2° DB commandée par le général Leclerc, entra la première dans Paris le 24 Aout 1944. Dans ses rangs, que des républicains espagnols.
La Mairie de Paris dès 2004, engagea la reconnaissance de ces combattants.

En 2014 pour les 70 ans de la libération de Paris, une cérémonie à notre initiative rassembla plus de 2000 personnes. Elles purent admirer le « halftrack » Guadalajara de la Nueve, gardé par l’armée française dans une de ses garnisons, et qui pour la première fois était exposé tout près de l’Hôtel de Ville de Paris.

En 2015, à notre grand étonnement le roi Felipe VI et la reine ainsi que Mme Hidalgo, Maire de Paris inauguraient le jardin de la Nueve, attenant à l’hôtel de ville de Paris.

En 2017, le 20 avril, la Mairie de Madrid dirigée par Madame Manuela Carmena, décida aussi d’honorer ces républicains engagés dans la lutte pour la libération de l’Europe du joug fasciste, nazi et franquiste, en inaugurant à son tour un jardin de la « Nueve ».

Pour toutes ces raisons, liées à la mémoire de celles et ceux qui ne cessèrent jamais de se battre pour la liberté, en Europe comme en Espagne et plus particulièrement à Madrid, au prix le plus souvent de leur vie, nous sommes particulièrement ulcérés par cet acte de destruction de la mémoire historique de votre ville et par conséquent de votre pays auquel votre municipalité vient bassement de se livrer. À savoir, la destruction du mémorial dédié aux fusillés du cimetière de l’Almudena, à l’Est de Madrid.

Regarder en face l’histoire et ses vérités c’est faire en sorte d’éviter que de telles monstruosités ne se reproduisent.

En tant qu’association mémorielle et au nom de tous les descendants de ces hommes et ces femmes qui ont donné leur vie ou qui ont dû fuir leur pays pour la liberté contre le fascisme, nous protestons et exigeons que vous rétablissiez ces plaques qui comportent les listes des noms des fusillés, et que vous garantissiez le maintien de ce mémorial intact dans l’avenir.

Nous rejoignons dans ce combat, les associations mémorielles de Madrid et de la péninsule qui se battent pour la mémoire des républicains espagnols morts pour la liberté.

Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir, pour informer le plus grand nombre de personnes et de responsables européens de cette situation et pour qu’un large mouvement de soutien au maintien du mémorial se fasse jour.

D’ores et déjà nous engageons chaque personne, choquée par un tel saccage, à signer ce texte.
En l’attente de votre réponse et prise en compte de notre requête, Recevez Monsieur Le maire, nos salutation associatives.

Association 24-août-1944

Nous convions toutes celles et ceux, choqués par cet acte, à signer cette pétition pour obtenir réparation et reconstitution du monument aux 2937 fusillés du franquisme à Madrid.
À diffuser largement.

Vous pouvez signer en suivant ce lien, merci:
[->https://secure.avaaz.org/fr/community_petitions/Maire_de_Madrid_MOURIR_A_MADRID_UNE_SECONDE_FOIS_MORIR_EN_MADRID_UNA_SECUNDA_VEZ/?tEHRjpb
https://secure.avaaz.org/fr/community_petitions/Maire_de_Madrid_MOURIR_A_MADRID_UNE_SECONDE_FOIS_MORIR_EN_MADRID_UNA_SECUNDA_VEZ/?tEHRjpb
https://secure.avaaz.org/fr/community_petitions/Maire_de_Madrid_MOURIR_A_MADRID_UNE_SECONDE_FOIS_MORIR_EN_MADRID_UNA_SECUNDA_VEZ/?tEHRjpb]

FRANCO ASSASSIN
FRANCO ASSASSIN

Documents joints

Revue de médias pour le 24 août 2019

1944-2019, 75e anniversaire de la libération de Paris! ¡75º anniversario de la liberación de París!

Le 24 août 2019 en images et musique:

Quelques liens pour voir les détails de la fresque! en français mais aussi en espagnol. Histoire : les Espagnols de la Nueve, grands oubliés de la libération … https://quefaire.paris.fr/81215/fresque-la-nueve-de-la-2e-db Street art 13, Paris 13 musée à ciel ouvert – Yala Photo https://www.msn.com/es-us/video/univision/un-mural-saca-del-olvido-a-los-h%C3%A9roes-espa%C3%B1oles-de-la-liberaci%C3%B3n-de-par%C3%ADs/vp-AAG6XxV https://es.finance.yahoo.com/noticias/mural-saca-olvido-h%C3%A9roes-espa%C3%B1oles-liberaci%C3%B3n-par%C3%ADs-083226751.html https://www.efe.com/efe/espana/destacada/un-mural-saca-del-olvido-a-los-heroes-espanoles-de-la-liberacion-paris/10011-4046906 L’association 24 août 1944 souhaite partager, avec vous, les événements en hommage aux combattants de la Nueve, arrivés dans la capitale, en éclaireurs de la 2eDB, le 24 août 1944. Notez sur votre agenda le samedi 24 août, pour être parmi nous ! Donc à très bientôt pour ces moments d’émotion et de mémoire. Cordialement. 75º anniversario de la liberación de París Con motivo del 75° aniversario de la Liberación de París, la asociación 24 août 1944 se complace en invitarles a compartir sus eventos en homenaje a los combatientes de la Nueve,que llegaron a la vanguardia de la 2ª DB el 24 de agosto de 1944. ¡No olvida el Sábado 24 de agosto de 2019, de estar con nosotros! Seremos felices de acogerles para estas evocaciones particulares de los defensores extranjeros de París, luchadores de la libertad. Retrouvez l’ensemble des manifestations prévues et soutenues par la mairie de Paris pour le 75e anniversaire de la Libération de la ville à l’adresse suivante : https://quefaire.paris.fr/80143/75e-anniversaire-de-la-liberation

Documents joints

 

El Jardín dedicado a los combatientes de la Nueve.Madrid 19 et 20 avril 2017

Les hommes la Nueve rentrent chez eux!

Nous sommes arrivés dès le 19 avril. Daniel Pinós est intervenu le soir même, au centre culturel de cet arrondissement dans le cadre d’un échange d’expériences de l’exil, entre : Yenia Camacho Samper, Elsa Osaba Bailo et Julián Rebollo. Au cours de cette table ronde devaient être développés les thèmes suivants : l’exil, sa perception parmi les descendants, l’installation en France et les liens avec l’Espagne, le travail de mémoire. Daniel s’est attaché à décrire ce que fut le combat révolutionnaire des libertaires aragonais de Los Monegros en Aragon, l’idéal qui les a portés et aidés à déplacer des montagnes pour parvenir à ce qu’ils considéraient comme une organisation de société juste et partageuse. Une génération entière de femmes et d’hommes qui dès le 19 juillet 1936, à Sariñena, son village comme dans toute l’Espagne se levèrent dans le vent de la révolution pour créer la collectivisation des terres agricoles, abolir l’argent, redistribuer les terres aux paysans, mettre en place des écoles pour tous les enfants, reprendre la production des usines, remettre en route les transports.

Daniel nous dit : « Ma mère résumait les choses ainsi « Jamais je n’ai travaillé avec autant d’enthousiasme, sans être payée, sans vacances, pour une cause aussi belle ! ». Cette phrase retranscrit le sentiment et le courage qui animaient tout un peuple prêt à beaucoup de sacrifices pour réaliser la mise en place d’une société égalitaire.

Hélas, ce fut un rêve avorté et Daniel nous décrit la déception de sa famille comme celle de tous ceux qui avaient cru pouvoir enfin atteindre le socialisme libertaire. C’est dans cet état d’esprit de défaite que se déroula l’exode vers la France : les hommes gardaient les armes à la main pour protéger les populations civiles qui fuyaient l’arrivée des franquistes. Puis ce fut l’humiliation des camps sur la plage, les séparations, la faim, les maladies et la guerre qui profilait son spectre de mort et de destruction. Cette guerre à armes inégales qui les avaient pourchassés depuis juillet 1936 était à nouveau sur leurs talons avec son cortège de drames.

Les hommes de la Nueve sont de ceux qui, fiancés de la liberté et de la justice, se sont engagés pour défendre ces valeurs.

Daniel nous explique comment les Espagnols, étrangers indésirables de l’époque se sont portés volontaires pour défendre la liberté contre le fascisme, mais aussi comment en 1945, ils furent laissés à leur pauvre sort d’exilés quand les alliés décidèrent de faire de Franco un atout de la guerre froide contre l’URSS.

C’est ainsi que beaucoup s’installèrent en France pour y faire souche. Et après la mort du dictateur, suite à la « transition démocratique » entamée en 1975 avec l’accord de tous les partis politiques de la droite au parti communiste, les bourreaux et les assassins du régime franquiste ne rendirent jamais compte de leurs actes. Les gouvernements de l’Espagne installaient un silence complet sur l’histoire réelle du pays.

Aujourd’hui des associations espagnoles réclament au gouvernement l’abolition de l’impunité des bourreaux, la reconnaissance des déportés et l’ouverture des fosses communes.

Le 20 avril, nous étions à l’inauguration du jardin des combattants de la Nueve.

À notre grande et agréable surprise, il y avait une foule très dense qui se pressait sur le périmètre de ce jardin. L’air avait un parfum de fronde, flottaient au vent des drapeaux aux couleurs de la république mais aussi beaucoup de drapeaux rouge et noir de la CGT et de la CNT qui au-delà d’une revendication républicaine exprimaient un besoin de justice sociale et de liberté. La foule était composée d’anciens antifascistes, et de leurs descendants venus rendre hommage aux hommes de la Nueve à travers la présence de Rafael Gomez, dernier survivant de cette épopée. Beaucoup étaient groupés derrière leur association de mémoire et de revendication contre l’impunité. Nous avons eu le privilège, en tant qu’association 24 août 1944, d’intervenir pour expliquer combien nous, descendants d’exilés, étions attachés à l’histoire de nos ainés et que notre mission était de transmettre leur histoire pour qu’elle serve aujourd’hui d’espoir face à la noirceur qui s’installe sur l’Europe et le monde. Les jeunes du lycée français de Madrid ont lu des textes qu’ils avaient élaborés avec leur professeur sur le périple de ces hommes, ce fut un moment très émouvant. Puis il y eut les discours officiels de la maire de Paris et de la Maire de Madrid : discours de paix et de fraternité durant lesquels les voix pour la levée l’impunité des crimes se sont faites entendre.

D’autres réclamaient une République ! Mais de quelle république s’agit-il ? Celle, du Bienio negro de 1933-1935, la république répressive de la finance qui sévit un peu partout dans le monde ou celle révolutionnaire del Frente Popular de 1936-1937, une république sociale qui respecte les humains, leur droit à une vie décente et à la dignité ?

Le dépôt de gerbes et les remerciements de la foule à Rafael Gomez ont conclu cette journée émouvante et pleine d’avenir. Le lendemain 21 avril nos amis Alberto Marquardt réalisateur du film La Nueve ou les oubliés de la Victoire, et Raúl Monteagudo, auteur du roman espagnol : Cuando los republicanos liberaron Paris présentaient justement ce magnifique documentaire dans lequel Luis Royo et Manuel Fernandez, deux des trois derniers survivants à l’époque, nous parlent de leur passionnante épopée avec beaucoup de lucidité et d’humour. Ils reviennent sur leur histoire, certains d’avoir fait ce qu’il fallait faire pour vivre selon leur idéal de liberté. La salle était bien pleine et le public attentif au documentaire et aux commentaires. Vous trouverez ici le lien sur notre chaine pour le reportage de cette journée, l’intégralité de l’évènement ainsi que l’intégralité des textes lus par les représentants de notre association les 19 et 20 avril et Le reportage de la chaîne Rojo y negro de la CGT. Sur notre chaine Youtube retrouver aussi bien d’autres films dont : Le camp d’Argelès de Felip Solé Le déroulement du 24 août 2016 filmé par Victor Simal avec l’intervention d’Edgar Morin; La Nueve ou les oubliés de l’histoire d’Alberto Marquardt, La marche sur les pas de la Nueve du 24 août 2014 filmée par Carlos Belmonte, La pièce sur les témoignages des hommes de la Nueve mise en espace par Armand Gatti, le film de la CNT espagnole 36 : Bajo el signo libertario et bien d’autres magnifiques surprises…. https://www.youtube.com/channel/UCN-1eCk93S9G3nohPORvWZA/videos?flow=list&view=0&sort=p

Les Espagnols sur le Guernika
Les Espagnols sur le Guernika
Une assemblée féminine pour la Nueve
Une assemblée féminine pour la Nueve
Mur de photos des disparus, victimes du franquisme
Mur de photos des disparus, victimes du franquisme
Plaque du jardin de la Nueve à Madrid
Plaque du jardin de la Nueve à Madrid
19 avril, en ce moment Daniel parle
19 avril, en ce moment Daniel parle

Documents joints

 

(Periodistas-es.com) Un nuage espagnol libéra Paris … Mémoires ibériques de Utgé-Royo

Par Julio Feo Zarandieta

Ce dimanche 22 juin, dans la salle du théâtre ‘L’Européen » à Paris, un concert de l’auteur-compositeur-interprète Serge Utgé-Royo a marqué le lancement d’une série d’initiatives estivales organisées par l’association « 24 août 1944 », qui commémore cette année le 70ème anniversaire de la libération de Paris par les républicains espagnols de la Nueve, la célèbre division du général Leclerc.

Fils de républicains espagnols, son père était anarchiste catalan et sa mère socialiste castillane, exilés au moment de la Retirada, Serge Utgé-Royo a présenté pour l’occasion son dernier disque « Mémoires ibériques, chanter pour les miens », qui inclut une chanson hommage aux républicains espagnols qui combattirent dans la Nueve.

« Un nuage espagnol » est le titre poétique de cette chanson écrite par Utgé-Royo, sur la musique de son complice et pianiste Léo Nissim, en mémoire à la Nueve : « Entre deuil espagnol, et Allemagne en guerre, nous remontons vers le Nord au milieu de l’horreur … Un jour on saura crier dans le silence, qu’un nuage espagnol libéra Paris … » dit ce chant républicain aux couleurs du drapeau anarchiste noir et rouge.

« Mémoires ibériques … chanter pour les miens » est un ensemble de 23 chansons écrites par Serge Utgé-Royo, comme « Amis dessous la cendre », Carte de visite », ou « Quand la vie brûle, la mort a goût de miel », et d’autres chansons populaires et sociales qu’il interprète avec des arrangements musicaux originaux, parmi lesquelles : « Andaluces de Jaén », « La Estaca » ou « Grándola Vila Morena », « Te recuerdo Amanda », ou encore « El ejército del Ebro » … »

Serge Utgé-Royo a revisité dans son abondante discographie, l’œuvre poétique et musicale de Léo Ferré, mais également dans son CD : « Contrechants … de ma mémoire », un ensemble de chansons révolutionnaires et populaires d’hier et d’aujourd’hui, de Boris Vian à Victor Jara, Violeta Parra, Raimon, Luis LLach, José Alfonso, Pete Seeger … , du « Temps des cerises » à « La Butte rouge », « A las barricadas » ou « Bella ciao » et « Adio Lugano bella »…

Avec sa voix chaude et ses arrangements musicaux qui vont du jazz aux rythmes latinos, avec Léo Nissim au piano et Jean My Truong à la batterie, le ton très personnel de Utgé-Royo nous sert un savoureux banquet de mémoire de la chanson populaire internationale que nous devons saluer ; ce sont des chansons de lutte, de combat, d’amour et de solidarité, thèmes qui continuent d’être d’une actualité brûlante.

L’association « 24 août 1944 » organise pendant les mois d’août et septembre, une série d’actes commémoratifs de la participation des républicains espagnols à la libération de Paris. Quatre colloques auront lieu le 22 août dans les locaux parisiens de la Bourse du Travail, ayant pour thèmes : la révolution sociale en Espagne, l’exil des républicains et le combat des Espagnols dans la Résistance et dans la libération de Paris. Parmi les intervenants : l’historienne française Geneviève Dreyfus-Armand, l’écrivain français Frank Mintz, la journaliste et écrivaine espagnole Evelyn Mesquida, auteure du livre « La Nueve, 24 août 1944 ».

Le 23 août, le poète et dramaturge français Armand Gatti présentera au théâtre « La Parole errante » de Montreuil en banlieue parisienne, son œuvre « La Nueve, mise en scène ». Le dimanche 24 août à 14h00, une manifestation partira de la Porte d’Italie pour se rendre au pont Henri IV près de l’Hôtel de ville de Paris, suivant ainsi le parcours que firent les hommes de la Nueve ce même jour de 1944, libérant Paris de l’occupation nazie.

Le 5 septembre le cinéma « La Clef » projettera trois films emblématiques pour illustrer cet anniversaire : »Sous le signe libertaire » de Les, cinéaste de 1936, « Contes de l’exil ordinaire » de René Grando, et « La Nueve ou les oubliés de la victoire » du cinéaste argentin Alberto Marquardt.