Futsal et mains propres
Un commentaire sportif de la Compagnie Jolie Môme
La ville de Champignoux, personne ne la connaissait avant la qualification de l’équipe féminine de futsal pour la coupe d’Europe.
De belles valeurs sportives, l’esprit d’équipe, l’implication et l’enthousiasme de ces joueuses ont fait leur succès.
Que se passe-t-il quand avec le succès arrivent UN nouveau président et UN nouveau sponsor ?
Et quand l’actualité sociale s’invite dans le sport ?
1h30 de chronique sociale et sportive, créée par la Compagnie Jolie Môme
Si vous l’avez raté lors de la première mi-temps en 2018,
Si vous y étiez et avez envie de le partager avec des amis,
Si vous voulez proposer à des jeunes de découvrir notre théâtre grâce à l’univers du football féminin,
Si vous pensez que la culture du football est aussi un moyen d’aborder de nombreuses questions de société…
Partagez cette annonce et réservez vos places au 01 49 98 39 20
Mercredi 13 et jeudi 14 mars : 19h
Vendredi 15 et samedi 16 mars : 20h30 (possibilité de restauration sur place)
Dimanche 17 mars : 16h
Tarifs 20€ et 13€
La Belle Etoile,
14 rue Saint-Just à La Plaine Saint-Denis, métro Front Populaire (ligne 12)
Plus d’infos sur notre site : http://cie-joliemome.org
Facebook : facebook.com/compagniejoliemome
Futsal et Mains Propres
sera aussi joué
au théâtre Gérard Philipe de Bonneuil sur Marne (94)
Vendredi 8 mars à 20h30
Réservations au 01 45 13 88 38
C’est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès de Ramiro, ton compagnon d’une vie Nini, et ton papa Patrick, toujours attentif et dévoué à votre bonheur.
Ramiro fut non seulement un compagnon solidaire au camp de Mauthausen mais toute son existence il sut rester proche de ceux qui souffrent et il a gardé intact son idéal contre l’injustice, pour une société de partage et de paix. Il a su aussi transmettre tant que ses forces le lui ont permis, la mémoire de l’engagement républicain pour la liberté, et la mémoire de la déportation espagnole, qui conjuguait le mot RÉSISTANCE dans les pires circonstances. Il appartenait à ce kommando légendaire constitué des plus jeunes espagnols du camp (entre 14 et 19 ans pour les plus âgés), le kommando Poschacher. Il était de ceux qui se nommaient: Los Poschacas. Ils formaient une équipe solide et solidaire. Ils observaient une conduite héroïque et d’entraide qui forçait l’admiration des anciens. Ils contribuèrent à la résistance interne du camp en sortant les clichés confiés par les photographes Antonio García et Francisco Boix (détenus espagnols affectés au service anthropomorphique du camp). Leur rire fut salvateur pour eux et un baume pour les détenus plus âgés. Ce groupe de jeunes était l’antinomie du système de mort nazi, toutes leurs actions étaient une ode à la vie ! Au passage de la frontière en 1939, Ramiro fut interné avec son père Nicasio et son frère ainé, Manuel, au camp du Vernet d’Ariège, le camp où étaient enfermés les éléments considérés comme « Dangereux » pour la sécurité nationale française. À la déclaration de la Seconde Guerre mondiale, ils furent incorporés à la 101e Compagnie de travailleurs étrangers, pour effectuer des travaux de protection antitanks sur les routes proches de la frontière belge. En juin 1940, prisonniers des forces allemandes, ils firent partie du premier groupe d’Espagnols à être transféré au camp nazi de Mauthausen, le 6 août 1940. Tous trois réussirent à sortir de Mauthausen vivants, après près de cinq années d’enfer nazi. Mais Nicasio, très malade mourut quelques mois après la libération tandis-que Manuel retourna en Espagne à Laredo où il fut assassiné par la guardia-civil. Seul Ramiro, porta toute sa vie la mémoire de leurs combats communs. Il adhéra à la Fedip (Federación Española de deportados e internados politícos) naissante dès septembre 1945 et en fut un membre actif, jusqu’à son dernier souffle, au cours de ses campagnes pour libérer les compagnons espagnols emprisonnés en Espagne mais aussi en URSS, pour les droits des déportés et de leur famille, et pour la mémoire de ce que fut leur « devoir collectif de survivre à Mauthausen » auprès de la jeunesse. À Mauthausen, il avait de ces numéros à 4 chiffres qui forçaient l’admiration de tous les autres déportés de diverses nationalités, le 3237, ce matricule il l’arbora fièrement, en tant que dernier président de la FEDIP jusqu’en 2005. Aussi nous voulons te dire merci Ramiro, d’avoir défendu notre liberté, d’avoir témoigner de ton attachement à la mémoire de tes compagnons, auprès des jeunes générations, et enfin d’avoir été ce que tu fus : un homme debout, fier et digne dans la tourmente de l’histoire.
Nos pensées vont à Nini, qui va devoir apprendre terriblement à vivre sans toi, et à Patrick, sa compagne et tous tes petits-enfants pour l’absence sans retour que tu laisses dans leurs cœurs et dans nos pensées.
L’association 24 août 1944.
Hommage devant le monument de la FEDIP 9 février 2009
Février 2009 cimetière du Père Lachaise
Hommage organisé par la CNT en février 2009
Réunion de la FEDIP années 60/65 Ramiro premier à gauche
L’UTOPIE EN EXIL 1939-2019 Hommage à la mémoire de tous les Espagnols morts pour la Liberté !
Les 9 et 10 février 2019, l’association 24 août 1944, avec le soutien de la Mairie de Paris, des associations MHRE 89 et AFMD75 a ouvert son programme des 80 ans de l’exil politique espagnol par cet hommage.
Tout a commencé au matin du samedi 9, par un rassemblement à la porte du cimetière du Père Lachaise, rue des Rondeaux, et un cortège qui n’en finissait pas jusqu’au monument de la Federación Española de Deportados e Internados Políticos, FEDIP (érigé en mai 1969). Il y avait plus de 200 personnes pour non seulement honorer mais rappeler ce que fut le combat et l’idéal de liberté défendu par ces hommes et ces femmes, au mieux contraints à l’exil au pire décimés par une mort violente. Ils furent les premiers à se soulever, seuls dans la tourmente, contre le fascisme montant. Ils luttèrent presque à main nues contre une armée bien équipée et soutenue par les puissances totalitaires européennes. Malgré cela, les défenseurs de la république espagnole n’ont pas reculé et l’écho de leurs convictions, leur acharnement à défendre la liberté résonne encore aujourd’hui comme un chant d’espoir et de résistance. La preuve en est le grand succès de notre manifestation. Dès 10h 30, une foule impressionnante s’amassait à la porte du cimetière. Pour la première fois, le gouvernement espagnol était représenté par une délégation composée de :
Cristina Latorre Sancho. Sous-Secrétaire du Ministère de la Justice et Présidente de la Commission interministérielle pour la Commémoration du 80e anniversaire de l’exil républicain espagnol.
Fernando Martínez López. Directeur général pour la Mémoire historique au Ministère de la justice et Vice-président de la Commission interministérielle pour la Commémoration du 80e anniversaire de l’exil républicain espagnol.
Luis Fernando Rodríguez Guerrero. Département de la Communication au Ministère de la Justice.
Anne Hidalgo, maire de Paris, Catherine Vieu-Charier, élue chargée de la mémoire combattante à la ville de Paris les guidaient au travers de l’histoire populaire du lieu, blottie le long des allées, jusqu’au monument de la FEDIP. Après avoir entendu le chant A las barricadas, qui illustre le combat du peuple espagnol contre un coup d’état militaire, Frédérique Calandra, maire du 20e arrondissement a ouvert la cérémonie souhaitant la bienvenue à tout le monde sur son territoire, et rappelant les idéaux et le parcours des Espagnols, leur volonté d’instaurer un monde meilleur, mais aussi la présence depuis des décennies de la CNT au 33 rue des Vignoles dans le 20e et sa volonté de garder toujours cet aiguillon dans son arrondissement. Puis l’association 24 août 1944 a expliqué ce qu’elle concevait comme travail de mémoire, et l’importance de comprendre ce passé qui parle d’avenir… Claude García, fils d’Antonio García Alonso, N° 4665, premier espagnol affecté au service anthropométrique du camp de Mauthausen, a pris la parole pour expliquer qui était son père, un antifasciste parmi les autres. Mais pour la première fois depuis 80 ans, le public et les élus ont entendu parler de l’existence de ce photographe, qui a accompli des actes de résistance dans le camp tout naturellement comme beaucoup de ses compagnons et dont le nom jusqu’ici était aux oubliettes de l’histoire pour ne pas nuire à la « fabrique de héros ». Ivan Larroy, secrétaire de l’association Mémoire, Histoire des Républicains Espagnols de l’Yonne (MHRE89) nous a expliqué que la ville Auxerre a été libérée le même jour que la Nueve est entrée dans Paris, le 24 août 1944. Et que parmi les résistants les plus combattifs des maquis de l’Yonne figuraient de nombreux Espagnols de l’exil. Ils avaient beaucoup sacrifié pour le combat pour la Liberté et leurs années de jeunesse s’étaient écoulées les armes à la main ou dans des camps… Cette intervention illustra magistralement le thème de la journée : Hommage à TOUS les Espagnols morts pour la liberté. Tout à coup s’éleva dans le silence la chanson de Mauthausen créée en 1965 pour le XXème anniversaire de la libération du camp. Elle est tirée d’un 45T édité par la FEDIP pour ce XXe anniversaire en mai 1965. Ce 45T comprend 4 chansons, dédiées à toutes les victimes de la déportation. Elles évoquent la tragédie des déportés espagnols, leur résistance dans le camp et leur espoir de retrouver leur pays bien-aimé dans cette liberté à laquelle ils ont tout sacrifié. Ces 4 chansons ont été écrites et composées par Ricardo Garriga (n° 5972), et chantées par Juan Vilato (n° 3829) : Canción del prisionero, composée et chantée à Mauthausen le 19 juillet 1943. Juan sin tierra, composée et chantée au camp et dédiée par la suite au peuple espagnol Retornarem, créée à Mauthausen le 5 mai 1945, jour de la libération du camp par les troupes alliées. Chantée en français et en catalan. Elle dit l’espérance du retour. Puis ce fut le discours de Fernando Martinez, au titre du gouvernement espagnol qui a affirmé sa volonté d’exhumer la mémoire des victimes du franquisme et notamment pour les fosses communes, la révision des procès franquistes et d’aider tant que faire se peut les initiatives de par le monde qui permettront de mettre cette mémoire en lumière, d’apprendre aux jeunes élèves ce que fut la véritable histoire de l’Espagne et ce conflit déchirant pour défendre la Liberté et la démocratie. Enfin, Anne Hidalgo, maire de Paris a pris la parole pour rappeler ce que fut l’exil de sa famille à l’intérieur de l’Espagne, exil qui conte l’histoire de beaucoup d’autres familles. ; son attachement à ses origines et surtout aux idées défendues par les républicains espagnols. En remerciant les représentants espagnols elle a affirmé sa volonté de continuer en ce sens déjà par la création au 33 rue des Vignoles du centre mémoriel du mouvement libertaire français et espagnol en exil. Chaque prise de parole a été écoutée dans un silence rempli d’attention. beaucoup d’émotion et d’interventions très fortes et toutes tournée vers l’avenir, en mémoire du combat de ces Espagnols antifascistes. Cette cérémonie s’est terminée sur Le Cant dels ocells, devenu symbole de paix et de liberté, une protestation contre la dictature en Espagne. Orchestré et joué par Pau Casals qui a dit : « Quand j’étais en exil, après la guerre civile, j’ai souvent fini mes concerts et festivals avec une vieille chanson populaire catalane qui est réellement une chanson de Noël. Elle s’appelle El Cant dels ocells, «Le Chant des Oiseaux ». Depuis lors, la mélodie est devenue la chanson des réfugiés espagnols, pleins de nostalgie » — Pau Casal. Il n’a jamais joué dans un pays en guerre.
Puis nous avons investi le 33 rue des Vignoles, accueillis par l’association Les Pas Sages. Les lieux ont grouillé de monde durant 2 jours, non seulement dans la salle de conférence /projection/spectacle où il fallait jouer des coudes pour entrer mais aussi dans la salle de Flamenco en France où trônait une exposition extraordinaire de photos inédites de la Retirada, que chacun venait admirer au bas mot 4 à 5 fois……… Les représentants du gouvernement espagnol sont venus au 33 rue des Vignoles dans le 20e arrondissement, curieux de voir ce lieu de l’exil libertaire espagnol. Intéressés par notre programme et nos projets, ils sont restés avec nous jusqu’à la fin du programme ce samedi 9 février. Un vrai festival de livres, de photos, de théâtre, de projection, de guitare et d’émotion. Voici le programme auquel vous avez assisté ou que vous allez regretter d’avoir manqué : L’exposition de photos inédites de Philippe Gaussot sur la Retirada et les camps français : PHILIPPE GAUSSOT (1911-1977): Né en 1911 à Belfort. Curieux de nature et aimant se mettre bénévolement au service des autres, il tient un rôle important à la Jeunesse Étudiante Chrétienne (JEC) et fréquente beaucoup d’autres mouvements de jeunesse (socialistes, scouts, auberges de jeunesse). Il « vit intensément » l’avènement du Front Populaire. Au Comité National Catholique d’accueil aux Basques (créé à Bordeaux en 1937, sous le patronage de l’évêque de Dax et des archevêques de Bordeaux et de Paris), Philippe s’occupe d’abord des enfants basques, puis catalans, et enfin de tous les réfugiés. Le comité est renommé par la suite Comité national catholique d’accueil aux réfugiés d’Espagne ou Centre National Catholique de Secours à l’Espagne (établi à Perpignan). Délégué de ce centre, Philippe Gaussot est aidé par une douzaine de Catalans et de Basques. Il passe souvent la frontière pour ravitailler les réfugiés républicains en lait, riz, couvertures et autres, jusqu’à l’arrivée des troupes franquistes à la frontière, en février 1939. Il rentre alors en France. « Notre dernier voyage s’est fait à Puigcerda, où j’ai conduit le camion de sept tonnes sous la surveillance de deux miliciens à travers les rues minées. » Par la suite, Philippe et le comité ravitaillent différents camps de réfugiés en France : Argelès, Le Barcarès, Saint-Cyprien, le Vernet-d’Ariège et Gurs. Il s’occupe aussi de centres de regroupement familial près de Bordeaux et de Dax. Il n’aura de cesse de prendre des photos. Les négatifs de ces clichés ont été retrouvés à son décès par son fils Jean-Philippe Gaussot. Celui-ci s’est mis en relation avec Felip Solé, et, comme nous sommes très liés à Felip, voilà comment une partie de ces photos inédites, et jamais imprimées sur papier, sont aujourd’hui sous nos regards stupéfaits. Merci Jean-Philippe ; merci Felip ; et merci aussi à Stéphane, de la CNT RP, le magicien qui a su rendre une vie d’émotion à ces clichés. Théâtre de la BalancelleVOYAGE EN GUERRE D’ESPAGNE Mise en œuvre : Monique Surel-Tupin,assistée de Françoise Knobel. Avec : Laura Diez del Corral, Sergio Guedes, Stéphane Pioffet et Nicolas Sers. Voyage en Guerre d’Espagne ne tente pas de retracer l’histoire de cette guerre, mais met l’accent sur des moments choisis : la terreur franquiste, la résistance de Unamuno, la lutte de Durruti, les Brigades internationales, l’assassinat de Lorca. Des chansons accompagnent ces évocations pour tenter de recréer ces grands moments d’espoir et de combat. Le spectacle se termine sur une note optimiste avec l’entrée des républicains espagnols de la Nueve à Paris, au moment de la Libération.
Nous avons eu deux représentions : une, samedi 9 et une autre dimanche 10 février. Cette dernière a été filmée par nos soins et c’est aussi la dernière de cette pièce…
Projection : « LE CAMP D’ARGELES, LEVEZ LE POING CAMARADES », un documentaire fiction de Felip Solé: Février 1939, près de 500 000 réfugiés traversent la frontière ; c’est la Retirada. Destination : les camps sur la plage… Ce documentaire-fiction relate la vie quotidienne et tragique des réfugiés, jusqu’en septembre 1941, date de la fermeture du camp, après la grande grève des femmes d’Argelès. Leçon de courage et de solidarité. FELIP SOLÉ Né en 1948 à Lleida, en Catalogne espagnole, Felip Solé a réalisé plus de trois cents documentaires. Réfugié politique, il s’installe en France en 1974 et commence à travailler dans l’audiovisuel. À partir de 1978, il réalise plusieurs documentaires, écrit des articles dans la presse spécialisée et donne des cours de réalisation en France et en Espagne. En 1991, il est engagé par Televisió de Catalunya où il réalise plusieurs séries documentaires, notamment Le syndrome d’une guerre ou la lutte des maquisards à la frontière franco-espagnole, en trois chapitres ; Zone Rouge ou la guerre et la révolution espagnoles en Catalogne, Pays valencien et aux Îles Baléares, en onze chapitres. Avec Exils, il met en scène l’exil des Catalans à travers le monde jusqu’à nos jours, en une série de six heures. Le Trésor du septième camion raconte comment les trésors d’art espagnols et catalans, ainsi que l’or des républicains, ont été soustraits aux franquistes. Livre: FEMMES EN EXIL , Réfugiées espagnoles en France 1939/1942 de Maëlle Maugendre Rendre visibles les femmes espagnoles réfugiées en France de 1939 à 1942. Une narration au féminin de l’exode sur le sol français de ces femmes restées dans l’ombre de leurs compagnons. Prises en charge par l’administration française, elles sont tributaires d’images sociales stéréotypées qui les cantonnent à des pratiques de vie et des comportements de victimes. Au delà de ces stéréotypes, les femmes espagnoles réfugiées se positionnent en résistance, et expérimentent des registres d’actions variés qui leur permettent de prendre conscience de leur « puissance d’agir ». Ce faisant, elles façonnent, en situation d’exil, des identités individuelles et collectives originales et résolument politiques. MAËLLE MAUGENDRE : 2013. Doctorat d’histoire : Les réfugiées espagnoles en France (1939-1942) : des femmes entre assujettissements et résistances. Mention Très honorable avec félicitations du jury. Chargée de mission du Laboratoire itinérant de recherches sur les migrations et les luttes sociales. Réalisation d’une exposition sonore, Nous sommes tous des enfants de migrants, autour de l’enfance en migration en Ardèche, de 1936 à nos jours.
MUSIQUE ET EMOTION :
GUITARE avec Juan Francisco Ortiz : Ce programme musical, pensé pour les célébrations du 80e anniversaire de la Retirada, raconte le cheminement de son père et de ses compagnons, et rend hommage à des personnalités telles que Federico García Lorca, Miguel Hernández et Antonio Machado… JUAN FRANCISCO ORTIZ Fils de Francisco Ortiz Torres, déporté pendant quatre ans dans le camp de Mauthausen (matricule 4245), il a mis sa guitare au service de la mémoire historique. Dans ses concerts l’accompagne le drapeau républicain, fabriqué en 1942 dans le camp de Mauthausen, et signé de tous les compagnons du commando de libération du camp, témoins des souffrances endurées…
Projection du dimanche 10 février 2019
NO PASARAN, album souvenir (70 mn) d’Henri-François Imbert Enfant, le cinéaste avait trouvé chez ses grands-parents une série incomplète de cartes postales photographiées dans le village de sa famille, à la fin de la Guerre d’Espagne en 1939. Vingt ans plus tard, il part à la recherche des cartes manquantes… HENRI-FRANÇOIS IMBERT : Henri-François Imbert est né en 1967 à Narbonne. Il a commencé à faire des films super 8 à l’âge de 20 ans. Tout au long de ces deux jours, le 33 n’a pas désempli il y avait en permanence 100 à 150 personnes à tourner dans l’endroit ce qui nous permet d’estimer à plus de 500 personnes passées ce week-end parmi nous, pour apprendre en dehors des récits familiaux ce que fut cet exil et les traces indélébiles qu’il a creusé dans nos esprits et sur les chemins de l’espoir. Pour visionner toute la cérémonie: https://www.youtube.com/watch?v=K9mB45esjDU
Hommage au Père Lachaise le 9 février 2019
Le Monument de la FEDIP paré
Intervention association 24 août 1944 le 9 Fév 2019
Intervention de Claude Garcia
Intervention de Fernando Martinez directeur de la mémoire du Gouv. espagnol
Juan Chica Ventura au nom d’Elsa Osaba (Querella Argentina)
AIntervention d’Anne Hidalgo, maire de Paris
Au 33, exposition des photos inédites de Philippe Gaussot
Au 33, exposition des photos stylisées de Victor Simal
Au 33, la table de livres et DVD
Pour présenter l’ami Victor
Le Théâtre: Voyage en Guerre d’Espagne de Monique Surel