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Mois : octobre 2019

UTOPIE EN EXIL, QUAND L’ART DEVIENT HISTOIRE

Proposée par l’association 24 Août 1944 et représentée par 34 artistes morts ou vivants, cette exposition retrace en cinq périodes l’expérience populaire hors norme, de 1931 à 1939, de la Deuxième république, la guerre civile et l’exil de 500.000 Espagnols du camp républicain. Cette expérience sociale jamais égalée et de cet exode appelé La retirada marquent définitivement enfants et petits-enfants de cette génération. Avec les artistes : Antonio Altarriba , Antonio Ros Blasco, Bruno Loth, Carlos Gimenez, Carmen Martinez, Carmen Pages, Castelao, Catherine Continente, Catherine Gil-Franco, Chari Goyeneche, Elsa Osaba, Eugenio Prieto Gabriel, Francisco Giné, Joan Jordà, José Olivares Cuadrado, José Torres, Juan Chica-Ventura,Julio Ribera, Kim, Leonor Fabra, Macarena Polo, Madeleine Lamberet, Manolo Alcorlo,Marcos, Carrasquer, Marina Aguayo (Ángel Corvera), Miguel Garcia Vivancos, Norma Pedroche, Olivier Pinalie, Paco Roca, Philippe Gibbon, Rosine Arroyo, Rufino de Mingo, Sim, Vicente Gil-Franco, Victor Simal. Télachargez notre invitation pour le 5 novembre Et n’oubliez pas de venir pour le Projection-Débat: Buñuel après l’âge d’or, jeudi 14 novembre à 19 heures.

La Palissade de Bruno Loth
La Palissade de Bruno Loth
Invitation à imprimer Madres… de Carmen Martinez
Invitation à imprimer Madres… de Carmen Martinez

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Une CARMEN inoubliable!

La projection de ce 26 septembre 2019 a marqué notre rentrée de la saison 2019/2020 au Centre Paris’Anim de la Place des Fêtes.

Nous avons choisi pour cette saison d’alterner entre films fictions (ayant trait à la révolution espagnole, à l’exil et à la résistance anti franquiste) et les films documentaires (qui développent des thèmes particuliers ou pans de cette histoire). Pour notre reprise le public était au rendez-vous et nous avons pu également accueillir d’autres personnes plus attirées par la présence « magique » de Laura del Sol . Carlos Saura , réalisateur, fut un opposant au franquisme comme Antonio Gades et même Laura del Sol (malgré son très jeune âge sous la dictature). Saura avec les armes qu’il maitrisait le mieux, le cinéma, a su dénoncer la société fasciste, et retracé avec justesse les blessures indélébiles laissées dans la vie des gens par ce régime. Puis doucement, il s’est tourné vers un autre genre de cinéma sans jamais se départi de son oeil critique face à la société, notamment sur le sort réservé aux femmes. Lisez ce que nous en dit Daniel Pinos. Comme il y a deux ans avec Frédéric Pierrot qui était venu pour commenter Land and Freedom de Ken Loach , à l’auditorium de l’Hôtel de ville, il faut reconnaitre que la présence d’un(e) protagoniste pour le débat nous permet de découvrir l’oeuvre cinématographique sous un angle plus particulier, plus intime. Cette vision échappe aux spectateurs et à l’analyse que nous pourrions en faire de l’extérieur. En résumé: ce fut une très très belle soirée! Merci à Laura Del Sol et à José-Maria Riba de l’association Españolas en París, qui n’a de cesse de promouvoir le cinéma espagnol sous toutes ses expressions et dont l’actrice est présidente d’honneur. https://www.gnolas.org/joomla/ N’hésitez pas à suivre et à participer à leur programmation.

Laura se présente
Laura se présente
Daniel parle de Carlos Saura
Daniel parle de Carlos Saura
Vue d'ensemble au débat
Vue d’ensemble au débat
C'est très sérieux
C’est très sérieux
Laura et José Maria
Laura et José Maria
La salle d'où déjà quelques spectateurs sont partis
La salle d’où déjà quelques spectateurs sont partis
Mireille apris la parole
Mireille apris la parole
La salle aussi est applaudie
La salle aussi est applaudie
Laura est convaincante!
Laura est convaincante!
De la complicité dans l'air!
De la complicité dans l’air!

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