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Musica y Represion Politica

Article du | 24 aout 1944 |
Una obra excepcional, que explica la contribución de la expresión musical para seguir siendo humano y luchar contra una ideología fascista a través de la resistencia en canciones, poemas… ¡Una forma ancestral y eficaz de luchar contra lo abominable! Un ouvrage exceptionnel, qui décortique l’apport de l’expression musicale pour rester humain et combattre une idéologie fasciste par la résistance au travers de chansons, poèmes… Une manière ancestrale et efficace de lutter contre l’abominable!

Musica y repressione politica
Enrique Téllez
(editor y coordinador)

Edicion Oràlia

AUTORES Y RESÚMENES

* Juan José Olives (Santa Cruz de Tenerife, 4-II-1951, Barcelona, 4-XII-2018). Compositor, Director titular y artístico de la Orquesta de Cámara del Auditorio de Zaragoza-Grupo Enigma (OCAZEnigma), Catedrático de Dirección de Orquesta en el Conservatorio Superior de Música de Aragón. Licenciado y doctor en Filosofía por la Universidad de Barcelona. Tras finalizar estudios musicales en España, continuó su especialización en Dirección de Orquesta en la Hochschule fur Musik de Viena con Otmar Suitner y de Composicion con Friedrich Cerha; también amplió estudios de Dirección de Orquesta en la Sommer-Akademie de Salzburgo con Ferdinand Leitner y D. Epstein. Este contacto con la vida artística alemana marcaría, de manera decisiva, su quehacer profesional, tanto de Director como de Compositor. Programó numerosas obras de autores alemanes en sus conciertos y escribió, en 1980, una partitura para guitarra titulada Variaciones sobre un tema de Alban Berg para orquesta de cuerda.

* Joan B. Llinares fue Catedrático de Filosofia de la Universitat de Valencia, en cuya Facultad de Filosofía y CCEE impartía docencia en torno a la Antropología Filosófica y la Filosofía de la Cultura. Ha publicado introducciones y traducciones de obras de Richard Wagner (La obra de arte del futuro) y Friedrich Nietzsche (Richard Wagner en Bayreuth, El caso Wagner, Nietzsche contra Wagner), así como ensayos sobre la música en Claude Levi-Strauss, en Schopenhauer, en Joan Fuster, la música y los mitos, y sobre el silencio y la música en los campos de concentración a partir de la obra de Primo Levi. Estos y otros trabajos suyos se pueden consultar on line en el repositorio institucional: . El presente estudio sobre la experiencia concentracionaria de Jorge Semprún ha tenido continuidad en Llinares, Joan B., “Notas de filosofía y antropología filosófica en las memorias de Buchenwald de Jorge Semprún”, en Joan B. Llinares (ed.), Antropología Filosófica y Literatura, Valencia, Pre-Textos, 2019, pp. 245-286.

* Elsa Calero Carramolino es Graduada en Historia y Ciencias de la Música por la Universidad Autónoma de Madrid (2014) y titulada en Patrimonio Musical por la Universidad de Granada y la Universidad Internacional de Andalucía (2015). En la actualidad, es doctoranda y Personal Docente Investigador (FPU 16/01033) en el Departamento de Historia y Ciencias de la Música de la Universidad de Granada. Forma parte de los grupos de investigación Música durante la Guerra Civil y el franquismo (1936-1960): Culturas populares, vida musical e intercambios hispano-americanos. HAR2013-48658-C2-1-P y Músicas en la España contemporánea HUM617, dirigidos por la catedrática D.ª Gemma Pérez Zalduondo. El material tomado en la elaboración de este estudio forma parte de la investigación que la autora desarrolla para la conclusión de su tesis doctoral, que será defendida en 2021.

* Enrique Téllez Cenzano. Profesor Superior de Composición, Dirección de Orquesta y Doctor en Ciencias de la Información (UCM). Ha sido Profesor de la Universidad de Alcalá, Director del Aula de Música de dicha Universidad y de la Revista de Especialización Musical Quodlibet (2012-2018). Para la redacción del presente estudio hemos contado con las colaboraciones de Victor Pliego (traducciones del alemán, textos y canciones), Elisa Borsari (trads. del italiano), Aizea Téllez (trads. del francés y del inglés), Aitana Téllez (trads. del alemán, textos y realización de fotografías), Jorge Fernando Yagüe Polo (trads. del ruso) y Myriam del Castillo (edición de ejemplos musicales).

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Librería El Argonauta (C/ Fernández de los Ríos, 55. 28015 Madrid). E-mail: info@elargonauta.com
Telf.: +34 915439441. El enlace directo con el libro es: https://www.elargonauta.com/busqueda/?csrfmiddlewaretoken=fTUWThIsv7v9vjl1Ie64hHwqzym67nVt&texto=m%C3%BAsica+y+represi%C3%B3n+pol%C3%ADtica&buscar_rapida=buscar_rapida

AUTEURS ET RÉSUMES

Juan José Olives (Santa Cruz de Tenerife, 4-2-1951, Barcelona, 4-12-2018) Compositeur, Directeur titulaire et artistique de l’Orchestre de Chambre de l’Auditorium de Zaragoza-Groupe Enigma (OCAZENIGMA), Agrégé de direction d’orchestre au Conservatoire Supérieure de Musique d’Aragon. Licence et Docteur en Philosophie à l’Université de Barcelona. Après avoir fini ses études de musique en Espagne, il continua sa spécialité en Direction d’Orchestre à la Hochschule fur Musik de Vienne avec Otmar Suitner et de composition avec Friedrich Cerha; il a fait aussi des études de Direction d’Orchestre à la Sommer-Académie de Salzburg avec Ferdinand Leitner et D. Epstein. Ce contact avec la vie artistique allemande a marqué de manière décisive, son activité professionnelle, tant comme Chef d’orchestre que comme compositeur. Il programma de nombreuses œuvres d’auteurs allemands dans ses concerts et a écrit, en 1980, une partition pour guitare intitulée, Variations sur un thème d’Alban Berg pour orchestre de cordes.

Résumé: Cette étude est une réflexion sur le contexte où a été conçue l’œuvre d‘Arnold Schönberg Un survivant à Varsovie, composée en 1947, dont il a reçu la commande pendant son exil aux États-Unis. Après avoir découvert le parcours personnel du compositeur, qui fut un auteur au prestige reconnu, professeur et créateur du dodécaphonisme au début du XXe siècle, on voit de quelle manière, il a vécu l’ostracisme provoqué par l’arrivée du nazisme en Allemagne, et son signalement comme Entartete Music* quand lui et sa famille ne se trouvaient déjà plus en Europe Centrale. Sa fuite du pays, qui le laissa sans futur comme des millions d’autres, notamment les juifs, provoqua le retour de Schönberg à la foi de son enfance, le judaïsme. Une étude détaillée de la musique et les paroles de Un survivant à Varsovie, permet d’analyser la relation de l’œuvre avec sa capacité/incapacité pour exprimer l’horreur vécu en Auschwitz, dans le ghetto de Varsovie et dans tous les endroits destinés à l’extermination de millions d’êtres humains, victimes du nazisme.
MOTS CLÉ; Arnold Schönberg; Dodécaphonisme; Entartete Musik; Holocauste; Exile ; Theodor W. Adorno.

*musique dégénérée

Joan B. Llinares a été agrégé de philosophie à l’Université de Valencia, où il a enseigné l’Anthropologie Philosophique et la Philosophie de la Culture à la faculté de Philosophie et CCEE. Il a publié des introductions et des traductions des œuvres de Richard Wagner (L’œuvre d’art dans le futur) et de Friedrich Nietzsche (Richard Wagner à Bayreuth, Le cas Wagner, Nietzsche contre Wagner), et des essais sur la musique de Claude Levi-Strauss, de Shopenhauer, de Joan Fuster, la musique et les mythes, et sur le silence et la musique dans les camps de concentration à partir de l’œuvre de Primo Levi. Ses travaux peuvent être consultés en ligne:

La présente étude sur l’expérience concentrationnaire de Jorge Semprún a été publiée : Notes de Philosophie et d’anthropologie philosophique dans les memoires de Buchenwald de Jorge Semprún, de Joan B. Llinares (ed.), Antropología Filosófica y Literatura, Valencia, Pre-Textos, 2019, pp. 245-286.

La musique dans les camps de concentration nazis selon le témoignage de Jorge Semprún
Résumé: Sur la base des livres que Jorge Semprún a dédié à son séjour de déporté dans le camp de concentration de Buchenwald, (Le grand voyage, L’évanouissement, Quel beau dimanche, L’écriture ou la vie, Le mort qu’il faut), on présente les différentes types de musique qu’un prisonnier pouvait expérimenter dans telles conditions extrêmes: celle de l’orchestre du camp, les chansons d’amour qu’on écoutait à travers les haut-parleurs, les chansons populaires que chantaient les prisonniers espagnols, la musique d’accordéon que jouait un prisonnier français et, en particulier la musique clandestine d’un groupe de jazz.
À côté de la description des répercussions qu’ont eu ces musiques sur le jeune auteur, on défend la thèse que la musique est libre et libératrice, comme celle de Mozart et Louis Amstrong. Elle prétend être la structure poétique exemplaire qui pouvait servir de modèle pour raconter avec une véracité artistique et une efficacité communicative, cette expérience concentrationnaire-là si atroce e inimaginable.
MOTS CLÉ : Orchestre de camp (Lagerkapelle) ; Chansons d’amour ; Chansons populaires ; Musique de jazz ; Musique d’accordéon ; Poésie

Elsa Calero Carramolio est diplômée en Histoire et Sciences de la Musique par l’Université Autonome de Madrid (2014) et diplômée en Patrimoine musical par l’Université de Grenade et l’Université Internationale d’Andalousie (2015).
Actuellement, elle est doctorante et professeure de recherche (FPU 13/01033) au département d’Histoire et Sciences de la Musique de l’Université de Grenade. Elle fait partie des groupes de recherche sur la Musique pendant la Guerre Civile et le Franquisme (1936-1960): Cultures populaires, vie musicale et échanges hispano-américains. HAR2013-48658-C2-1-P et Musiques dans l’Espagne contemporaine HUM617, dirigés par le professer Gemma Pérez Zalduondo. Le matériel pris dans l’élaboration de cette étude fait partie des recherches que l’auteur développe pour la conclusion de la thèse doctoral, qui sera défendue en 2021.

Régénérés et rachetés : profils des musiciens dans les prisons franquistes (1939-1975). Eduardo Rincón : de prisonnier à compositeur.

Résumé : Partant de la théorie de Foucault sur la prison comme « microcosmes d’une société parfaite où les individus sont isolés dans leur existence morale », le présent article vise à rentrer dans la multiplicité de profils musicaux qui se sont développés dans les prisons espagnoles à la fin de la Guerra Civile : des musiciens dont les carrières – et parfois les vies – ont été éliminés après leur séjour en prison, à des cas comme celui de Eduardo Rincón, pour qui la prison a changé la signification de son activité personnelle et intellectuelle, sans oublier ceux pour qui la captivité a été l’occasion de subvertir le régime ou de racheter la peine.

Pour développer cette étude, on doit analyser le modèle culturel et musical imposé par le système pénitentiaire du franquisme, en tenant compte des interférences de ce régime avec le nazisme allemand et sans doute, comme l’ont montré de nombreux auteurs, l’influence dans la vie musicale espagnole «hors les murs » et, comme on verra dans cet article, dans la vie musical de « intramuros ».
Comme conséquence, il convient de s’appuyer sur les sources primaires d’information proposées par l’hebdomadaire Rédemption et les mémoires des activités réalisées dans les prisons, publiées par le Patronat pour la Rédemption de Peines par le Travail, les numéros du Bulletin Officiel de la Direction Générale de Prisons, publiés entre 1942 et 1948, les expédients de détention et pénitentiaires des différents musiciens qui ont subi des représailles, ainsi que des divers témoignages pris comme une partie du travail sur le terrain réalisé pour le développement de la thèse doctoral dont les matériaux exposés ici font partie. De la même manière ne peut être ignorée la bibliographie développée par les divers auteurs sur les relations entre les fascismes de l’Allemagne et de l’Espagne.
MOTS CLÉ : Musique ; Franquisme, Prison ; Répression ; Eduardo Rincón

Enrique Téllez Canzano. Professeur Supérieur de Composition, Direction d’Orchestre et Docteur en Sciences de l’Information (UCM). Il a été professeur de l’Université d’Alcalá, Directeur de la Classe de Musique de cette Université et de la Revue de Spécialisation Musicale Quodlibet (2012-2018). Pour la rédaction de cette étude, nous avons eu la collaboration de Victor Pliego (traductions de l’allemand, textes et chansons), Elisa Borsari (trads. de l’italien), Aizea Téllez (trads. du français et de l’anglais), Aitana Téllez (trads. de l’allemand, textes et photographies), Jorge Fernando Yagüe Polo (trads. du russe) et Myriam del Castillo (édition d’exemples musicaux)

Musique et barbarie-Musique contre la barbarie (1933-1945)

Résume : Cette étude contient un groupe de documents qui sont organisés en deux sections : « Musique et barbarie – Musique contre la barbarie (1933-1945) », quatre épisodes étant sélectionnés, parmi une grande quantité. Ces épisodes nous montrent, respectivement, des visions antagoniques du rôle joué par la création et la pratique musicale (vocale et instrumentale) dans la période donnée : comme instrument de la propagande d’État qui a eu comme objectif de consolider et d’élargir une idéologie politique déterminée – y compris son mode opératoire – et, dans le camp opposé, comme élément de cohésion et de résistance face à de cruels systèmes de répression, torture et extermination.

Les mouvements politiques inspirés par le fascisme se sont implantés dans les premières décennies du XXe siècle, entre autres nations, en Italie, Allemagne et Espagne. Leur conquête du pouvoir – avec des différents degrés de collaboration entre ces pays – a conduit à l’Europe à une spirale de violence qui atteint son paroxysme avec la Seconde Guerre mondiale. Ce conglomérat fasciste a progressé en s’appuyant sur la suppression des droits plus élémentaires des citoyens (réunion, association, expression, garanties juridiques, liberté de la presse…) et a fait sombré le continent en un scénario de destruction, souffrance et mort.

MOTS CLÉ : Fascisme ; Barbarie ; Musique ; Répression ; Propagande ; Résistance.

Ce livre est distribué dans tout le territoire national. Les personnes intéressées pour l’acquérir, ont deux options:
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