Skip to main content

VASQUEZ BLANCO Alicio


Naissance : 8 octobre 1924
Lieu : La Graña – El Ferrol
Province / Département : El Ferrol
Pays : Espagne
Nationalité : Espagnol
Décès le : 14 octobre 1944
à Ménarmont (88 – Vosges)
Grade atteint à la fin de la guerre : 2ème classe
Présent à la Nueve lors du pointage du 15 juin 1944 en Angleterre : Non
Embarqué à Southampton le 31 juillet 1944 : Non
Arrivé à Berchtesgaden le 5 mai 1945 : Non
Citations : Oui

Notes :

Fils d’Alicio VASQUEZ HINOJOSA et de Julia BLANCO REY

 

Engagé volontaire pour la durée de la guerre à la 2ème DB le 29/08/1944 à Paris. Adresse avant l’entrée au service : 6, rue de l’École à Rouen. Profession déclarée : étudiant. Célibataire

Affecté à la 9ème Compagnie du III/RMT

Reçoit le matricule I 2 954

Fait partie de l’équipage du HT Brunete, 3ème section

Tué par balle (hémorragie interne sous-claviculaire) le 14/10/1944 à Ménarmont

Inhumé en un premier temps au cimetière de Saint-Maurice (Vosges), dépouille transférée à la nécropole nationale « Sigolsheim » à Kayserberg-Vignoble (Haut-Rhin)

Tombe individuelle

Carré de la sépulture : C

Rang de la sépulture : 3

Numéro de la sépulture : 89

Mort pour la France

Au moment de la liquidation du dossier de décès par le service central de l’État Civil militaire, en 1954, sa mère était domiciliée à Buenos Aires, Argentine

Citation à l’ordre de la Division, Croix de Guerre 39-45 avec étoile d’argent (OG 2 du 03/01/1945) :

VASQUEZ Alicio

Jeune recrue très brave. Est tombé mortellement frappé le 14.10.44, à la tête d’une patrouille.

 

Le capitaine Dronne relate les circonstances de son décès :

Fabregas décide d’aller à Ménarmont. Il scinde sa patrouille en trois escouades.

Première escouade : lui-même, le sergent Reiter, les soldats Bodiot, Patricio et Vasquez, foncent sur l’agglomération. …

Fabregas et son équipe contournent par la gauche et arrivent à hauteur du hangar aux tuiles rouges. Les civils qui travaillaient dans les champs se sont éclipsés. Fabregas se trouve devant un petit glacis qui s’étend en pente descendante jusqu’aux premières maisons. Il avance. A hauteur du transformateur, à l’entrée du village, le groupe est fauché par le déclenchement soudain de rafales d’une arme automatique – fusil mitrailleur ou mitrailleuse. Fabregas et Vasquez s’effondrent. …

Nous ramassons les corps de Fabregas et de Vasquez. Ils sont criblés de balles. Ils ont été tués sur le coup.

Mis à jour le 8 septembre 2025 – © Carmen Góngora

Source(s) :

SHD Caen
AC 21P 160 629
CAPM Pau
E 213 063
Français Libres & Républicains espagnols contre le nazisme, les carnets du capitaine Dronne
pages 439-440

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 50 Mo. You can upload: image. Drop files here