Fils de Noël et de Jeanne FERROS
Recrutement Bordeaux
Caporal-chef au 1er Régiment de Zouaves, matricule 655
Fait prisonnier par les Allemands lors de la défaite de la France en 1940, envoyé au Stalag 2-A, situé à Fünfeichen, près de Neubrandenburg, dans le Land de Mecklembourg (Poméranie Occidentale), dans le nord de l’Allemagne
Rapatrié par train le 11/06/1941
Engagé volontaire pour la durée de la guerre au Corps Franc d’Afrique (CFA) le 06/02/1943 à Casablanca, Maroc. Déclare être cultivateur, célibataire et domicilié à Port Lyautey, Maroc
Entre au corps avec le grade de caporal-chef
Nommé sergent pour compter du 01/04/1943
Passe à la Brigade de Marche du Tchad suite à option pour les Forces Françaises Combattantes, 3ème Bataillon CB3 le 26/07/1943
La Brigade de Marche du Tchad devient le Régiment de Marche du Tchad, le 3ème Bataillon devient le III/RMT le 01/11/1943
Présent à la Compagnie d’Appui 3 (CA3) le 15/06/1944 en Grande-Bretagne
Date de passage à la Nueve inconnue
Fait partie de l’équipage du HT Cap Serrat, 1ère section
Spécialité militaire : sous-officier adjoint
Blessé par balle à la cuisse droite le 13/09/1944 à Remoncourt
Tué par balle le 17/11/1944 à Badonviller
Inhumé au cimetière de Badonviller
Mort pour la France
Citation à l’ordre de la Brigade, Croix de Guerre 39-45 avec étoile de bronze (OG 67 du 31/10/1944) :
DUROS Jean, Sergent
Sous-officier tenace et courageux. Le 13 septembre à Remoncourt a débordé avec son groupe et attaqué à la grenade une pièce antichars mettant tous ses servants hors de combat. A été blessé par balle à la cuisse au cours de l’action.
Citation à l’ordre de l’Armée, à titre posthume, Croix Guerre 39-45 avec palme (décret du 06/02/1945) :
DUROS Jean – Sergent du RMT
Sous-officier très calme et très courageux au feu. A été blessé devant Remoncourt le 13 septembre 1944, a rejoint la compagnie imparfaitement guéri. Est tombé mortellement frappé lors de l’assaut sur Badonviller, le 17 novembre, alors qu’il précédait le char de tête. Déjà cité.
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